La Toundra

[Iburi]

*Et la lumière fut. Voilà Iburi qui pend dans le vide les bras ballants avec des types étranges qu'il connaissait que trop bien. Iburi rencontre la surface dure de la glace alors qu'il retombe au sol. Il se relève et enlève le surplus de neige de ses vêtements et de sa peau nue. CAR OUI ! IL EST PAS EN MANTEAU !*

Oh non ... Pas eux !

*Il n'avait jamais vraiment eu de soucis avec la collection automne-hiver de la mémé, mais ils avaient une facheuse tendance à croire que par on ne sait quel prodige, ils avaient le droit de faire ce qu'il voulait dans la Toundra et plus généralement, dans le Pôle Sud en général.
Il se souvient s'être fait grondé par une dame effrayante, la dernière fois qu'il était allé à la Citadelle.

Ce souvenir lui faisait froid dans le dos.

Pourtant il n'avait rien fais de mal à l'époque, il avait juste fais mumuse avec des blocs de glace en forme de maison...*

De quoi qu'ils causent les gus ?

*Ces gens de la ville étaient bizarre. C'était vraiment une autre culture. Iburi ne comprenait rien du tout à leur charabia.*

-Hé t'as vu ta tronche l'empaffé ? Et pi c'est quoi un courmachinchose !

*Il pointe du doigt le second gus.*

-Je suis l'ermite des glaces, Karl Lagarfeld ! Et d'abord, où qu'il est le village et les gens qui étaient dedans ?

[Yukiko]

Leviathan

Observant un peux mieux l’homme qui venait de l’inviter dans ce qui était de ce qu’il disait sa demeure, Des habilles plutôt ample de couleur bleu foncer comme les eaux du pôle Sud et il cachait son visage à travers un casque fais de paille. On ne percevait que très peux son regard et on ne l’apercevait que pars foi aux détours d’une lumière, il utilisait un ton de voix qui ce voulait chaleureux accueillant tout en restant autoritaire d’une certaine manière.
À tout cela Aren rester dubitative, ne savant pas vraiment que faire à part attendre et regarder, il savait, qu’il devait la vie à cet homme. Mais dans un autre sens celui si avait d’une façon causé la possible mort qu’il aurait pu avoir, face aux hommes qui était dans la Toundra … Un conflit interne ce créer donc en lui seulement des questions venez en même temps. Affirment d’un signe de tête les paroles de l’homme, il comprenait tout à fais sa position avec un doute seulement …
- En tuant cet homme aurais-je pris sa place au sein de votre meute ? Di-il d’un ton interrogative. Où peux êtres seulement gagner une place en son sein, vous ..m’avez évité la mort, car vous avez jugé que j’avais prouvé ma valeur. Que puis-je pour vous maintenant, qu’attendez-vous de moi ?

Aren était tel un enfant devant cet homme, apprennent et voulant comprendre les mécaniques des relations humaines auquel il avait encore beaucoup de mal à en comprendre toutes les subtilités. Pour lui il venait de sauver sa vie en combattent ce qui était tout naturel, mais pour quoi quel qu’un de plus fort que lui la laisser en vie ? Cela il ne l’avait jamais vue chez les animaux ou que ce soit avec Tuvan … et voilà donc la question pour quoi le laisser en vie..
Il ne portait re êtres pas de masque mes c’est comme si sont visage l’était, il gardait cette habitude de resté des plus inexpressive et on ne pouvait que difficilement lire ses réelles émotions …Visiblement son épaule ne le gêner plus, car il avait arrêté de la masser, les soins qui avait du lui êtres donnes était sûrement efficace ou peux êtres qu’Aren avait décidé de feinter la douleur.

[Feu-de-Neige]

Une plante qui pousse sur la glace? Il n'en existait pas mille dans la toundra, à sa connaissance il n'y en avait même qu'une et là où elle l'avait vu pousser, c'était près du campement! Feu-de-neige allait répondre quand elle vit derrière Masao que maman ours était réapparue.. Feu-de-neige écarquilla ses yeux et dit :

- C'est par là!

Elle s'enfuit en donnant la bonne direction, courant le plus vite qu'elle pouvait, tellement vite qu'elle avait l'impression d'aller à la même vitesse que le vent.

[Leviathan]

Leviathan but une nouvelle gorgée de sa tasse encore fumante.

-C'est un petit peu plus compliqué que cela. Disons qu'une place est vacante, qu'elle t'est réservée et qu'elle te reviendra si tu t'en montres digne. Comprends que même si j'ai reconnu un homme de valeur en toi, je n'ai pas -encore- confiance en toi, et toi non plus d'ailleurs. Il nous faudra du temps pour nous apprivoiser.

Pour le moment, repose-toi. Tu n'as pas été gravement blessé, mais il ne faut jamais sous-estimer les coups qui nous ont été portés. Ensuite, nous reparlerons. Bien entendu, tu n'es pour le moment pas autorisé à te déplacer librement. Des gardes à l'extérieur t'apporteront ce dont tu as besoin. D'ici peu, tu pourras sortir de ta chambre. En attendant, profite de notre hospitalité.

Je te laisse, des affaires m'attendent. A bientôt.

Il alla frapper à la porte pour que les gardes lui ouvrent. Mais avant de sortir, il se retourna une dernière fois vers son "invité".

-Au fait, quel est ton nom ?

[Guru givré]

IBURI

-Roh putain, pas lui...
-Ouais, définitivement pas un coursier. C'est bien parce que tu es un parent du Chef Kaya que je vais prendre le temps de t'expliquer. Un coursier est un messager, un porteur de messages. Un message est le format d'une information que l'on veut transmettre, partager, afin de communiquer. Communiquer, c'est se faire entendre et comprendre de l'autre, et ainsi obtenir une réponse en fonction du message initial.
-Je pense que tu l'auras largué là. Enfin bref, circule, y a rien à voir.
-Fausse bonne idée. Je le connais, le loustic. Borné comme ça n'est pas permis, il va continuer à nous les briser menu jusqu'à ce qu'il ait une réponse. Tu peux me croire sur parole. J'ai vu Nauja lui passer un savon sans broncher.
-Bah, je suppose que ça ne coûte rien. Ce que tu vois autour de toi, ce sont les restes du village et de ses habitants. Bon, et maintenant, file. Tu nous gênes.

Les deux manteaux blancs repartirent. Le dernier lui ayant parlé ramassa un rouleau dont il dévida un ruban jaune qu'il enroula autour d'un piquet puis un autre.

[Yukiko]

IL regarda sa tasse fumante apporter devant lui et ne la toucha pas reportant son regard sur l’homme devant lui. Écoutant attentivement ce qu’il lui disait, parle de confiance qui devait s’installer avant de pouvoir intégrer le groupe de l’homme.

« La confiance… Comment pourrais je faire confiance à cet homme, ou même à d’autre je n’ai jamais eux confiance quant moi-même et Tuvan. Lui-même ma apprise de ne faire confiance quant sois, je dois dire que les humains ce comporte comme des animaux à quel que exception prête qui je trouve les rend mauvais dans un sens. »

Continuant d’écouter silencieusement ce que lui disait l’homme, maintenant qu’il prenait plus conscience de ce dont il l’entourait il voyait mieux où il était. Pas de fenêtre, de la lumière donne pars une bougie le sol et les murs était fais de pierre, une simple paillasse sur la quel Aren était déjà dessus servait de lit ; à pars quel que pile de vieux livres qui était entassé dans un coin il n’y avait rien. On pouvait sentir l’humidité qui émané des murs mets aucune ne goûte d’eau ne passer à travers, Aren ce rendit compte au fur et à mesure de la conversation qui était enfaîte emprisonner.

« Voilà la différence entre un animal et un homme… l’animal n’a pas de pitié, l’homme lui si, mais parfois celle si est faite de bien de différant manière. »

L’homme au masque de paille ce releva et commença à ce diriger vers la sortie, il frappa pour que l’on vienne lui ouvrir et la porte s’ouvra naturellement avec un garde derrière. L’homme se retourna une dernière fois et demanda à Aren son nom.
-丧家之犬 dit t-il en regardent l'homme dans les yeux, sur un ton neutre .

*sàng jiā zhī quǎn= chien sans foyer / chien sans maître / chien perdu sans collier

[Iburi]

*Communiquer avec les autres ?

Mais à quoi ça sert quand les autres sont des nigauds ?

Genre le second qui écrit en gris.

Enfin, on lui explique la situation, le village aurait été transformé en reste de village par quelque chose d'inconnu et donc de forcément très dangereux. Et voilà qu'un mal menace la toundra et ses habitants ... C'était quelque chose de dérangeant. Peut-être faudrait-t-il qu'Iburi prenne les choses en main ? Franchement, on ne pouvait pas vraiment faire confiance à la fashion Week pour le coté enquête et résolutions des problèmes.

Non parce que bon, si ils étaient vraiment efficace, y aurait pas l'arbre mojo qui ferait chier hein ? On est d'accord.

En plus, Iburi est l'ermite des glaces, ce qui, outre un nom classe, lui donne une certaine responsabilité sur ce qu'il se passe dans la toundra. Enfin, c'est comme ça qu'il voit les choses et emmerde les gens qui penseraient éventuellement le contraire. On fait pas bobo à sa glace, sinon il se fache. Et accessoirement les gens qui sont sur la glace, ce serait bien de pas les massacrer, ça fait tache après. Le soucis, c'est que pour enquêter, il lui faudrait un point de départ. *

Autant continuer à questionner ces joyeux lurons !

*Iburi devait donc aller rejoindre Karl et Jean-Paul afin de continuer son interrogatoire, mais voilà qu'un vil fil jaune le dérangeait dans sa progression.*

Boarf.

*Il le saisir à deux mains et le déchire et passe au travers. Il rattrape les deux zigotos en les hélant discrètement.*

-HE HO ! ATTENDEZ ! J'AI DES QUESTIONS !

*Après avoir hurlé et avoir parcourut les 5 mètres qui les séparaient, l'ermite reprit son interrogatoire.*

-Vous auriez plus de détails sur ce qu'il s'est passé ? Non parce qu'en plus d'être un parent de mamie, je suis l'ermite des glaces, donc bon, je peux surement aider.

*Il fait un grand sourire, une manière de dire "Si vous coopérez pas, je mutilerais vos bijoux sans même y toucher".*

[Rekin]

*Comme Masao le pensais, les aventures de Feu-de-Neige lui permit de connaître cette plante. La jeune fille lui indique le chemin et avant même qu'il puisse lui dire merci, elle court à toute vitesse*

- Feu-de-Neige attends !

*Il entent un grognement, tourne doucement la tête, et voit le chien ours polaire de retour, s'approchant d'un pas lourd. Le moine imite sa compagnonne et fuit le plus vite qu'il peut*

- COURS PLUS VITE ! PLUS VIIIIIIIIIITE !!!

[Leviathan]

Leviathan eut un sourire intérieur.

-Cela te convient tout à fait. Je me suis donné le nom de Leviathan. Bon repos.

Et il sortit, la porte en pierre se refermant sur son prisonnier privilégié.

[Yukiko]

La porte ce refermant dans un brui sourd et le silence fut, il n’y avait même pas le bruit d’une rougeur qui aurais pu habiter dans ses lieux. Et cette humidité ambiante, mais pas une seule goûte d’eau qui venait couler le long des murs, Aren garde la tête droite les yeux fermer il méditer paisiblement. Il ouvrit doucement son œil gauche et observa devant lui, respirant doucement son esprit commença à crée devant lui avec les bribes de souvenir qu’il avait ; Tuvan son père adoptif.

Le vieux chasseur au trait fin la barbe comme à son habitude couper au couteau et son regard aussi tranchant regarde Aren, il fit mine de prendre la tasse de thé et en bus une gorgée.

- Alors mon garçon je voie que tu as bien grandie, tu es revenu la ou je t’avais trouvais à ce que je voie… Dis le vieux chasseur en regardent autour de lui
En fin pas tout à fais de ce que je voie, pour quoi es tu ici dit moi ?

Répondent mentalement, car Aren savait bien que Tuvan n’était pas devant lui.

- Il se semblerait qu’un homme est eux pitié de moi et qu’il est vu en moi quel que chose qui semblerait l’intéresser.

Ce frottant la barbe Tuvan plissa les yeux observant un peux mieux Aren

- Et toi t’intéresses-il, est qu’il a quel que chose à t’apporter dit-moi ?

- Pour l’instant non, je lui dois la vie j’attendrais qu’il me présente une chose intéressante pour que je sois moi aussi intéresser.

- Bien, n’oublie pas Aren ce que je t’ai appris ne fais confiance cas toi-même… Ne l’oublie pas l’homme est plus sournois que n’importe quel animal que j’ai pus te montrait. Maintenant, cherche une raison de rester ou pars …

Ce fut les derniers mots de Tuvan qui avait était recréé pars l’esprit d’Aren, il disparu en s’évaporant au fur et à mesure qu’il prononçait ses derniers mots … Fermant son œil à nouveau il médita de longs heurs sans que rien ne ce passe, il fini pars s’allonger et dormir sur le lit de fortune qui lui avait était fait. Et il s’engouffra dans ses souvenirs qui venaient comme à chaque foi le hanter…

Il apparaissait au milieu d’une plaine sens fin dans la quel on ne pouvait distinguer le véritable horizon, à ses pieds c’était bien sur de la glace avançant sur celle si pendant des heures sans rien ne ce passe. Et puis au bous d’un certain temps, des êtres sans visage sorte de la glace et il était comme plus grand qu’Aren vu que sont points de vue pars rapport à eu était en contre plongé, le ciel devenait à ce moment la rouge pourpre et pendant que les êtres sans visage parler avec des bribes de phrases…le ciel laisser tomber des flocons de sang. Et c’est au moment ou les flocons toucher Aren que les êtres aux formes humaines sans visage venaient le dévorer, et c’est à ce moment la que celui si ce réveiller en sueur.

Les jours passés et un bol avec un thé était la quant il ce réveiller, continuant de ce reposer en méditant avec sa blessure il ne pouvais rien faire d'autre après tout il rajouta la lecture à ses journées. Il avait à sa disposition une petite bibliothèque de livre sur divers conte moraliste, histoire, philosophie, et quel que rouleau sur la maîtrise et d'arts martiaux.Il attendait maintenant la venue de son sauveur pour savoir quelle était la suite, et savoir ce qu’il attendait de lui.Le bol apparaisse et il disparaissait, une foi termine et Aren endormi...