par Zafrat » Lun 10 Déc 2012 20:40
*Enfin, de retour devant son appartement.
Las et fatigué d'une journée de travail sans fin à La Cuisine de Kwang, Zafrat avait déambulé depuis le restaurant pour se retrouver devant la porte de son appartement. Le trajet lui avait semblé durer des heures et le jeune homme n'avait qu'une seule envie : se pieuter et dormir jusqu'à ce que son oncle vienne lui tirer les oreilles en lui hurlant dans les tympans.*
#Alors vous êtes enfin rentré ? Peuh, jeune délinquant. si votre oncle n'était pas le célèbre premier maître de cuisine de chez Kwang, il y a longtemps que je vous aurait mise à la porte, moi !#
*Zafrat avait bien des défauts, mais il savait garder son calme face à une vieille dame qui ne savait plus ce qu'elle, ne qualifiant les gens que par leur apparence... malheureusement pour lui, il avait la peau noire, et sa "geôlière" comme il aimait l'appeler ne le portait vraiment pas dans son coeur... Enfin, malgré tout son savoir vivre, le jeune homme était fatigué... trop fatigué pour s'empêcher de rétorquer :
#Madame Simonde, je ne remet pas en question vos propre perceptions des gens étant donné quels sont ce quels sont, c'est à dire comme vous : vieilles, dépassées et agonisantes d'idiotie. Néanmoins, si vous pouviez avoir l'amabilité de prendre une pastille de menthe avant de me parler, nous en ressortirions "bons amis".#
/Et vlan la vieille ! Tu l'avait pas vue venir celle là, hein ? /
*Ce faisant, le jeune homme voulut prendre ses clefs pour rentrer dans son appartement et claquer sa porte au nez de l'autre folle.*
/Malheur !/
*L'idiot avait perdus ses clefs... enfin, sûrement oubliée au restaurent... /Et M....rde !/ Zafrat décida donc de repartir chercher son passe-dodo. Il se retourna et repartit, devant une madame Simonde rouge pivoine et bégayante qui n 'eue que la force de lui hurler dans le dos*
#Jeune effronté, vous ne vous en tirerez pas comme ça ! J'en toucherais deux mots à votre oncle et ont verra bien là, qui se raiera de l'autre ! Salle délinquant, voyou ! Espèce de...#
*Il n'entendit même pas la suite.
Bah ! qu'elle en touche donc deux mots à son oncle, il avait de quoi réaliser l'un de ses plus grands rêves, enfin changer d'appartement (et de logeuse) ! En quelques années de travail acharné, il avait enfin gagner de quoi se payer lui même un appartement serte moins luxueux, mais plus à l'idée de ce qu'il voyait comme "sa maison". Cette argent, il venait de la récupérer, et cela faisait une sacré grosse somme... ce qui n'était pas sans le rendre malalaise, il se voyait comme un "paquet de pognons ambulant".
À voie haute :*
#Ah ! Vivement mon lit !#