[Capitale]Grandes portes d'Aoshima[obligatoire aux étrangers

[Sun Deng Hill]

Chancelière Bei Fong...

*Un signe de tête vers Han, puis il continue*

Si vous le souhaitez, nous pouvons nous rendre dans une des salles du Palais, prévue à cet effet.

*Puis, montrant la troupe de l'Alliage un peu plus loin.*

Par contre, et je suis sur que vous me comprendrez, il n'est pas question que vous vous promeniez dans notre Capitale avec votre petite armée.

*Et là il se permet un petit sourire.*

Vous pouvez bien sur vous faire accompagner de quelques hommes si vous craignez pour votre sécurité. Mais je suppose que si c'était vraiment le cas, vous ne nous auriez pas fait la joie de vous présenter ainsi.

*Un petit geste de la main, et les soldats commencent à s'agiter en arrière-plan.*

Si vous voulez bien me suivre...

[Le Tribun]

KASEN

*Bah du coup Wanko attend, rien de bien passionnant, si ce n'est que Papy bateau s'est complètement mit les gardes dans la poche et qu'il discute de la pluie et du beau temps avec ces charmants messieurs. Il parle aussi de champignons, de navigation, des plus belles filles et des plus beaux littoraux ...

Il a du bagage le vieux !

Mais on s'en fout un peu quand même.*

[Jin Beifong]

*Impassible, Jin déclare sobrement.*

-Ce n'est pas mon armée, mais ma garde personnelle. Ils assurent bien plus que ma sécurité. Mais soit.

*La fin de sa phrase fait partir les deux agents du Nine Djah qui font volte face, ils repartent vers le bateau accompagnés de 8 agents de l'alliage, deux restent.*

-Si cela vous satisfait, nous pourrons y aller.

*Et le petit groupe put se mettre en marche jusqu'au palais royal.

C'était courtois comme ambiance.*

[Conseiller du Feu]

Hrp : Sasaki>Je te laisse refaire ton poste, mais quoiqu'il en soit, tu seras conduit dès la descente de ton bateau vers l'intérieur du centre de contrôle ^^ Tu pourras aussi, sans doute, voir de loin le navire de guerre de Républic City ainsi que la concentration non négligeable de militaires sur le port.

Wanko

*A l'intérieur du centre, les gens continuent à arriver. Il semblerait que toute personne arrivant à la Capitale soit pour le moment consignée ici. Peut-être pourras tu entendre quelques gardes parler de "mesure de sécurité" entre autres choses. Quoiqu'il en soit, il semblerait que vous soyez tous là pour un moment.*

Chancelière Bei Fong

*Et hop ! En route pour le Palais. La suite se passe là bas, d'ailleurs.*

[Le Tribun]

KASEN

*En pleine discussion avec le soldat, le vieillard baille bruyamment.*

-PUTAIN MAIS C'EST QU'ON SE FAIT CHIER !

[Le Tribun]

[HRP: Ce Rp' prend place quelques jours après le départ de Jin Beifong et la reprise d'une activité normale.]

WINDMAN

*Le bison amorce sa descente. Le voyage avait été long depuis Republic City, pas franchement de moyen de faire escale. Heureusement qu'ils avaient suffisamment de vivres. Den se tourne vers Saiko.*

-Nous devons passer par un poste de contrôle pour pouvoir nous déplacer librement dans la Nation.

*Il se retourne afin de se concentrer sur la trajectoire.*

-Tu as bien dis que Maitre Ximenjun habitait dans le quartier résidentiel de la Capital n'est ce pas ?

*Le bison partait un peu trop sur le coté, le moine recadre un peu la bête en tirant un peu.
Finalement, le bison se pose sans mal sur le sol.*

-Il nous faut nous présenter à une patrouille pour aller présenter nos papiers.

[Gino]

Précédemment:
RC->Le Temple de l'air

-Enfin la côte!

Ça faisait quelques jours qu'ils voyageaient et il tardait à Saiko d'arriver.Le bison amorce alors sa descente.

-Nous devons passer par un poste de contrôle pour pouvoir nous déplacer librement dans la Nation.

-Encore un contrôle de papiers... C'est pas possible.

Puis Saiko repense à ce que lui a dit Wenjin quelques jours plus tôt. Il dit alors à Den:

-Au fait, Wenjin m'a dit qu'il valait mieux éviter de dire que l'on vient de Republic City.

Mais Den ne dit rien. Soudain il lui demande:

-Tu as bien dis que Maitre Ximenjun habitait dans le quartier résidentiel de la Capital n'est ce pas ?

-Oui c'est bien ça. Pourquoi tu me demandes ça?

C'est alors que le bison atterrit.

-Il nous faut nous présenter à une patrouille pour aller présenter nos papiers.

-Je pense qu'elle viendra à nous. Pas besoin de s'inquiéter. Un bison volant, ça ne se loupe pas.

Ils commencent alors à marcher en direction du poste de contrôle.

/A qui le dit-il ... Moi qui n'ai presque pas mangé ce midi en pensant à ce restaurant. /

*Un léger gémissement sort timidement de la gorge de Wanko, à peine audible dans toute cette foule ... Mais lui laissant croire qu'elle en a fait assez pour exprimer son mécontentement contre le Destin.*

[Conseiller du Feu]

Wanko

*A la relative relaxation apparente des gardes qui t'entourent, tu pourras peut-être deviner que l'attente ne sera plus très longue. Ce qui n'empêche pas ton voisin de te lancer un regard blasé. Apparemment, lui aussi en a marre.*

Saiko

*Et en effet, vous n'avez pas fait quelques pas que vous êtes interpellés.*

Excusez-moi ? C'est à vous ce machin ? Vous avez un permis pour ça ?

*Et oui, c'est que la Nation du Feu est un pays civilisé. Et une grosse bestiole comme un bison volant, ben... Comme tu le dis si bien, ça se loupe pas.*

[Eréné]

Précédemment

Et effectivement, il faisait beaucoup plus chaud. Cela était déroutant, c'était la première fois de sa vie qu'elle découvrait la sensation de chaleur sur sa peau. Qui ne passait pas par le fait de se couvrir, s'entend. Depuis que la Nation du Feu était en vue, elle n'avait pas quitté l'horizon pour la voir peu à peu grossir, se détailler et enfin apparaître devant ses yeux dans toute sa grandeur.

Le capitaine l'avait cependant prévenu qu'ils devraient passer par de longues et pénibles vérifications, mais que de l'autre côté, ce seraient des imbéciles s'ils ne prenaient pas toutes les mesures pour assurer la sécurité de leur territoire.

Nauja approuverait sûrement...

La procédure lui restait très obscure, mais elle lui faisait confiance. Elle alla chercher ses affaires et vérifia à nouveau qu'elle portait bien les trois lettres puis attendit sagement sur le pont qu'on s'occupe d'eux. Ce qui ne saurait tarder aux dires du capitaine, un habitué des lieux.