[CIT] Les Académies

[Yukiko]

Makki/Kishi

Réfléchissant aux paroles de la jeune guérisseuse Aren re-bascula la tête sur le matelas dur .

« Es que j'ai trouvé une place ici , c'est une bonne question oui, car je n'en sais vraiment rien... Je ne crois pas en fait... non, je continue, mon chemin pour l'instant seul.

De l'humour. Qu'es ..Qu'es donc . «

-Excuser moi, mais je ne sais pas ce qu'est de l'humour, je re disais vos paroles, car c'est le seul souvenir que j'ai de notre conversation .

Présentent la venus de quelque chose qui ce voulais menaçant , le vagabond au sens aiguiser pour la chasse ce tenais prêt à parader toute forme d'attaque . Accélèrent son rythme cardiaque, augmentant ainsi l'apport au sang à ses muscles avec les autres micros liquide qui faisais partie du corps , tournant doucement la tête il vît Makki qui venait voir son élève .

-Bonjour, vous deux ! Alors ? Comment se porte mon cher élève ? Bien j'espère parce que je n'en ai pas tout à fait terminé avec toi !

Elle affichait un sourire féroce et résolument enthousiaste. Flippant. Et Aren répondit de même avec un léger sourire laissant son regard exprimer tous sa ressentie relevant le défi, son regard était devenu celui d'un prédateur... Il tremblait légèrement et le temps ce ralentisse au fur et à mesure qu'il avait son regard dans celui de Makki, c'était comme un combat qui ne ce voyais pas et qui ce passer dans la tête .

Avec une grande vivacité il sortit son bras du lit et comme pour raclé le sol de sa main pour ensuite tendre le bras avec la main tendue en « lames » les doigts tendus et crispés pour qu'il soit plus dure, son geste fut accompagné pars l'eau au sol qui viens crée une lame de glace grossière dans sa forme qui visait le haut du tors... la lame s'arrêta à quel que centimètre du professeur .

- Oui ..Maîtresse .

[Eréné]

Kishi roula des yeux à l'entrée en scène du Professeur Makki. Toujours à martyriser ses élèves avec autant de plaisir. Le pire étant que cela était réciproque, étant donné l'assiduité de ces mêmes élèves. Et de leur adoration.

"-Oui, maîtresse."

Encore un maso, elle les attire ma parole.

-Bon, eh bien, je vais vous laisser entre vous. J'ai fini mon service. Je vous dis à bientôt, Aren, Maîtresse Makki. Ne l'abîmez déjà, il n'est pas encore tout à fait remis.

Et c'est ainsi que la jeune femme prit la tangente. Mais ça devenait une habitude chez elle !

La Confirmation
Puis

[Guru givré]

KISHI / AREN

-C'est ça, c'est ça... Va voir ailleurs si j'y suis, suppôt de Sangok.

Puis elle se tourna vers Aren et reprit son expression grave de professeur sévère.

-Ta maîtrise étant maintenant débloquée, je suis censée pouvoir t'enseigner la suite. Hélas, cela n'est pas aussi simple. J'ai longuement discuté avec Masaaraq et Sangok de ton cas et nous en sommes arrivés à la même conclusion : on ne peut rien t'apprendre de plus que ce que tu sais déjà, si ce n'est te pousser à aller plus profondément.

Elle marqua une pause dans son discours avant de planter un couteau de chasseur dans la table.

-Voici ton épreuve. Armé de ce seul couteau, tu iras dans la Toundra affronter la nature et te confronter à toi-même. Tu ne devras te reposer que sur ta maîtrise pour t'en sortir. De ce que je sais, tu y arrives déjà. Pour valider ton épreuve, tu me ramèneras la peau d'un loup-garou ainsi que ses dents et ses griffes. Il ne faudra pas en perdre une seule et la peau devra être en bon état.

Ai-je été clair ?

Un rayon de soleil se refléta sur le fil de la lame pas très bien affûtée.

[Yukiko]

Affichant de nouveau son léger sourire sur ces lèvres il se releva doucement , le pique de glace redevint une simple flaque d'eau et il prit le couteau planter dans le bois . Il ce releva ensuite ne prenant même pas la peine de ce couvrir , ce retrouvent torse nue avec rien non plus au pied . Passant à côtes de Makki il la regarda avec un regard de défit, approuvant ainsi le défit qu'on lui avait donné .

-Oui, maîtresse Makki .

Aren partie le couteau en main en direction des dortoirs préparer ses affaires pour son voyage, ils voulaient qu'il chasse très bien, il allait chasser n'étais ce pas ce qu'il fessait de mieux après tous . Plus de 20 ans qu'il accompagner Tuvan à travers le monde à chasser toute sorte de créatures, la toundra était pour lui comme sa maison cette ici qu'il était né et ici qu'il avait longtemps grandie en apprennent les dangers de celle si .

«Il faut que je face attention aux crevasses , à bien camouflé mon odeur et mes traces … cette foi je chasse que avec ma maîtrise et ce couteau de chasse. Je vais pouvoir me sentir déjà plus chez moi là-bas derrière ses murs, avec les quel j'ai encore un peux de mal à ne pas me sentir emprisonner. C'est tous de même étonnant qu'il veule que je parte dans la Toundra, n’étais se pas maître Masaaraq qui disait d'êtres prudents plus que d'habitude avec la disparition d'élève . « Soupire » ils doivent avoir leur raison, pour moi ça ne change pas grand-chose la chasse fais partie de ma vie quoi de mieux si je meurs en fessant de la chasse. »

Il est sur qu’êtres restreint à l'utilisation de la maîtrise de l'eau allez êtres une véritable difficulté, car normalement c'est en comptent sur les diverses armes et piège que Aren chasser là il devra faire en sorte que c’est sa maîtrise qui face se travaille. De toute manière s'il n'y arrivait pas la toundra le reprendrait et le ferait disparaître, marchant dans l’allée centrale de l'infirmerie la plus part des élèves le regarder avec curiosité parlent à voie passe . Le chasseur continua de marche sans y prêter attention le regard déterminer .

Arriver aux dortoirs il ce dirigea bien évidement vers son lit où était entreposé ses affaires, il prit le strict nécessaire avec de quoi se changer si il ce retrouvait trempais jusqu'à l'os , avec une grande couverte doublais d'une fourrure pour passer les nuits au chaud . Avec ça il s'habilla correctement sans tous foi prendre des vêtements qui pourrait trop le déranger pendant sa chasse , il sortie de nouveau dehors remplir une gourde d'eau potable les cas de déshydratation son fréquent dans se genre de zone . Une fois son paquetage termine il ce présenta à l'entrée arme du couteau de chasse que Makki lui avait donné , il était accrocher dans son dos au niveau de sa ceinture .

«  Bien je suis prêt à reprendre ma liberté et affronté mère Nature , que le froid vienne déchirer ma chair et que je puis se me fondre en elle pour ne faire qu'un et chasse ainsi avec encore plus de facilité ses enfants . »

Il portait ses habits habituels avec son poncho qui était doublé d'une fourrure tous comme ses autres habillent qu'il portait, son sac était petit et compacte contenant tous ce qu'il lui était nécessaire il ne lui manque quel que aliment pour tenir jusqu'à ce qu'il trouverait de quoi manger . Une chose qu'il s'occupera avant de partir en passant au marchand.

« Maintenant que j'y pense Makki va sûrement me demandait de laisser mon paquetage ici mmh .. »

Aren eu un sourire carnassier à l'idée qui venait de lui effleuré l’esprit

[Guru givré]

AREN

Les trois maîtres l'attendaient à la sortie des Académies.

-Bonne chance, lui souhaita Makki avec un petit sourire. Crois-moi, tu vas en avoir besoin.
-J'aurais ce qu'il te faut pour te soigner ici.

Masaaraq le prit un peu à partie.

-J'espère que tu reviendras avec la réponse à ma question qui était je le rappelle : Quel est le plus grand ennemi du guerrier ?

Bonne chance, mon ami.

Il lui saisit le bras à la manière des frères d'armes, cela n'était pas un geste anodin. Mais une marque de reconnaissance.

[Yukiko]

Makki Sengok Masaaraq

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Aren regarda chaque de professeur qui était présent , re sentent à caque parole qui lui dire la chaleur au fond de son ventre, une nouvelle sensation naissait en lui une chose qui ne connaissait rien et savais que ce n'était pas le moment de se poser des questions. Son cœur battait à la chamade et la chaleur augmenter l'accolade qu'il eu avec son professeur d'arts martiaux fut des plus encouragent, il se laissa même sans véritablement sans rendre compte poussé un sourire sur les lèvres. Le premier qu'il avait depuis bien longtemps, qui s'effaça juste après que le maître relâcha l'avant-bras de son apprentie.

La cour était quasiment vide, il eu bien quel que passage d'élève ou d'autre qui se caché derrière des portes ou angles de mur pour espionnes ce qui se passer. La discrétion n'était pas leur fort on ne pouvait en douter au son des chuchotements qui se faisaient quelques fois.

« Si je veux réellement trouver tout le potentiel qui est en moi, je vais devoir...je vais devoir redevenir plus que le pauvre vagabond cas laisser derrière lui Tuvan et lui montrait à quel points j'ai grandi. Cette fois je ne tuais pas avec l'acier mais, bien avec mes main et ... l'extraordinaire don qui c'est révélé en moi, grâce à lui je vivrais... ou mourais. Mon apprentissage va dépendre de cela et je suis prêt à affronter la grande Toundra pour voir si elle m'accepte ou non ... »

Le vent souffla emportant avec lui de la neige qui viens la relâchait au-dessus du groupe, la faisant tomber en toute douceur.Il reculât d'un pat et les salua tous, formellement comme il se devait joignant son poing gauche ferme dans sa main droite et les présenta devant lui pour marque le signe de respect. Puis il défit son paquetage harnaché dans son dos et le déposa au sol, ensuite il présenta le couteau qui était rangé dans son fourreau et le déposa devant lui avec son paquetage.

-Je devrais affronter seul la grande toundra avec pour seule arme ma maîtrise, si elle m'accepte je survivrais à l'épreuve que vous m'imposez. Au cas contraire la Toundra me reprendra...

Ses paroles raisonnées dans la cour de l'entrée, elle avait été dite d'une voie pleine d'assurance gardent leurs côtes dure. Montrant l'impassibilité qu'avait Aren face à la situation. Il ne resta pas plus longtemps et ce retourna pour partir, son poncho ballottant au vent qui était léger il continua à descendre les escaliers jusqu'à ce retrouver dans les rues qui étaient comme à d'habitude remplie de monde. Ressentent quel que peux la sensation de se sentir submerger pars la foule, le vagabond pris sont écharpe de tissus fins et l'enroula comme il faisait souvent atours du haut du visage pour obstrue partiellement sa vue. Ainsi comme cela il ne percevait plus que les formes des personnes, il n'avait plus cas ce laissé emporte part la foule.

[Guru givré]

AREN

Aren parti, Masaaraq passa ses bras musculeux autour des épaules de sa femme.

-Que penses-tu de lui au juste ?
-Il a beaucoup de potentiel, c'est un guerrier comme on en voit peu de nos jours. Il aurait de l'avenir dans notre armée, voire chez les Manteaux Blancs.

Sangok se gratta la joue, sa barbe de trois jours assombrissant son visage.

-S'il survit à Nauja, bien entendu. Et à la Toundra. Tu ne l'aurais pas un peu envoyé à la mort, par hasard ?
-Si je pensais qu'il n'en était pas capable, je ne le lui aurais même pas proposé. Et il le savait.

Makki eut une expression de satisfaction.

-Tu t'es pris d'affection pour lui, n'est-ce pas ?
-Je ne vois pas du tout de quoi tu parles.

Masaaraq l'embrassa sur le front en riant, puis ils retournèrent à leurs classes.

Suite

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*Ce jour-là un air glacial habituel flotté au dessus de la grande banquise du Pôle Sud.
Tout était parfaitement calme et paisible.. Un peu plus loin au bord de l'eau, une jeune fille était là, assise dans la neige, pensive...
Elle ne faisait aucun bruit, ses yeux d'une couleur bleu semblé fixé l'autre côté de l'océan sans doute trop loin pour être visible. Elle décida finalement de se lever, et partie en direction de l'académie la tête pleine de pensée.
Elle traversa une partie de la ville avant de se retrouver face à un immense escalier, au bout de ces derniers ce trouvait le lieu de toute ses convoitises : l'Académie !
En montant les marches, elle croisa un bien étrange homme qui porter un foulard sur ces yeux. A ce moment elle fut prise d'une étrange peur.*

Et si je n'étais pas prête, et si leurs entraînements était trop dur pour moi, et si les rumeurs qui disaient que cette Makki était horriblement dur étaient vrais..

*Elle s'arrêta net dans les marches pendant quelques instants avant de se rappeler toutes les raisons qui l'avait pousser à se rendre ici.
Finalement elle grimpât la dernière marche et fit face à un immense Palais de glace !
Elle avança jusqu'à la porte non sans crainte, avala une gorgée de salive puis poussa celle-ci dans un mouvement brusque.
De peur, elle cria les yeux fermés :*

Je m'appelle Anoko et je souhaiterais parfaire ma maîtrise de l'eau ! Makki es-tu là ?

[Guru givré]

ANOKO

Personne dans la cour. Personne dans la loge du gardien. Vraiment personne ?

-T'as de la chance que ma mère ne soit pas là... Elle t'aurait arraché les yeux pour l'avoir tutoyé de manière aussi familière. T'es une nouvelle suicidaire, enfin, élève ?

Sur ta droite, à la fenêtre au premier étage, une jeune fille mâchouillait un morceau de viande séchée.

[Guru givré]

Précédemment

AREN

Tu te réveilles peu à peu, semblant émerger difficilement d'une torpeur débilitante. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que tu es dans le cirage.

-Il dort depuis des jours, maintenant.
-Ne t'en fais pas, je suis certainement l'un des meilleurs guérisseurs au monde. Quand je te dis qu'il est sorti d'affaire et qu'il ne tardera pas à se réveiller, c'est qu'il va se réveiller. Alors, détends-toi. Je ne t'avais pas vu comme ça depuis le jour où tu es venu me dire que tu allais demander à Makki de t'épouser.
-Plaît-il ?
-Non, rien.
-Ce n'est pas que j'adore vous écouter bavasser, mais j'ai un programme très chargé, sans compter que la situation est urgente.

En ouvrant un oeil, tu constateras que tu es à nouveau dans un lit à l'infirmerie. Étrange comme la vie ramène aux mêmes endroits, un peu comme si on était prisonnier d'un cycle qui se répète à l'infini.
Mais ce n'est pas le sujet.
Tu clignes des yeux à plusieurs reprises. Devant toi, les trois maîtres discutent avec une femme que tu n'as jamais vu. elle porte un costume noir et des lunettes. Elle est mince et ses cheveux blond très pâles cascadent sur ses épaules. Elle porte une épée sur le côté et fume un cigare.

-Je t'ai déjà dit de ne pas fumer dans mon infirmerie.
-Ça n'a jamais tué personne que je sache.
-Que tu crois. Ah... Bonjour, Aren. Comment te portes-tu ?