* Azaruk était sous tension, il s'inquiétait pour la princesse bien évidement. Sa disparition allait sûrement n'être qu'une disparition, puisque toute la cité ou presque était à la recherche de son ravisseur. Cela le garde pouvait le gérer, il avait été entrainé à rester clame dans ce genre de situation. Mais le jeune homme était totalement désemparé face à ce père qui ne demandait qu'une chose qu'on lui rende sa fille. Il connaissait son chef en tant que leader mais le père qu'il était avait prit le pas sur son rôle de chef. Il restait silencieux jucher sur son chien-ours polaire à attendre que celui qui les avaient toujours guider reprenne le contrôle de lui-même et redevienne le chef qu'il avait toujours été pour Azaruk. En fait cet incident faisait prendre conscience au soldat que les gens comme Toruuk Hakan pouvait être aussi humain. Tout d'un coup, lui qui était si fort, si stable, devenait d'une fragilité déconcertante.
Mais dans le même temps, il restait son supérieur et pouvait à tout moment lui faire payer ce comportement un peu trop insistant. Même si le chef Hakan était un homme compréhensif et bon, il n'était pas vraiment dans son état normal et pouvait agir sur un moment de colère. Alors même si Azaruk attendait sa réaction, il était aussi sur ses gardes contre tout accès de colère incontrôlée. Il était à bonne distance et pouvait donc se protéger assez vite contre la rage de son leader. Cette rage ne serait sûrement dirigée contre lui en priorité, mais le soldat serait peut-être un exutoire au mal-être d'un père au abois. Soudain alors que Toruuk allait enfin ouvrir la bouche, son ours se rua sur lui. Le jeune homme eu quelques difficultés à le maintenir assez loin de son chef. Cette fois son compte était bon, il allait être renvoyé de la garde. Seulement quelques après y être entré ce serait un record. Le chef lui demanda si son animal avait l'habitude d'un tel comportement. En fait oui, juste quand il...Il sentait une odeur particulière. Mais oui c'est ça!! Au même moment que son chef l'énonça clairement, le jeune homme comprit ce qu'il avait sentit. La princesse...
Il descendit alors sans un mot de la selle et chercha à tâtons la poupée de la petite fille dans sa poche. Il s'était tellement empressé de rejoindre ses confères qu'il n'avait plus pensé à ce bout de tissu qui humait d'une odeur royale à des lieux à la ronde. Avec un animal ayant un si bon odorat la princesse aurait déjà pût être retrouvée. Le regard remplit de honte, Azaruk présenta la peluche au museau de Flocon, ce dernier se tourna alors dans tout les sens pour chercher la fille du chef Hakan. Il remonta en selle et lança un regard triste à Toruuk, il s'en voulait d'avoir été aussi bête...*
-"Seigneur Hakan...je suis désolé. J'aurais dû le comprendre plus tôt. S'il vous plais, rentrez au palais. Nous retrouverons vôtre fille. Après tout chacun de nous à prêté serment non?"
*Il eut un petit sourire en coin, puis sans une autre parole le jeune homme se pressa vers le supérieur des gardes qui se tenait au centre de la rue. il prit un peu de temps pour lui expliquer la situation. Après un hochement de tête, il demanda à quelques gardes d'accompagner le jeune Azaruk à la recherche de la fillette disparue. En d'autres mots, son chef lui confiait le commandement de cette mission. Il sentit monter la pression sur ses épaules, mais après une ou deux secondes pour reprendre son calme, il frappa les flancs de Flocon et l'animal fille à travers les rues de la cité. Il se rapprochait du kidnappeur à chaque pas de l'ours.*
Mais dans le même temps, il restait son supérieur et pouvait à tout moment lui faire payer ce comportement un peu trop insistant. Même si le chef Hakan était un homme compréhensif et bon, il n'était pas vraiment dans son état normal et pouvait agir sur un moment de colère. Alors même si Azaruk attendait sa réaction, il était aussi sur ses gardes contre tout accès de colère incontrôlée. Il était à bonne distance et pouvait donc se protéger assez vite contre la rage de son leader. Cette rage ne serait sûrement dirigée contre lui en priorité, mais le soldat serait peut-être un exutoire au mal-être d'un père au abois. Soudain alors que Toruuk allait enfin ouvrir la bouche, son ours se rua sur lui. Le jeune homme eu quelques difficultés à le maintenir assez loin de son chef. Cette fois son compte était bon, il allait être renvoyé de la garde. Seulement quelques après y être entré ce serait un record. Le chef lui demanda si son animal avait l'habitude d'un tel comportement. En fait oui, juste quand il...Il sentait une odeur particulière. Mais oui c'est ça!! Au même moment que son chef l'énonça clairement, le jeune homme comprit ce qu'il avait sentit. La princesse...
Il descendit alors sans un mot de la selle et chercha à tâtons la poupée de la petite fille dans sa poche. Il s'était tellement empressé de rejoindre ses confères qu'il n'avait plus pensé à ce bout de tissu qui humait d'une odeur royale à des lieux à la ronde. Avec un animal ayant un si bon odorat la princesse aurait déjà pût être retrouvée. Le regard remplit de honte, Azaruk présenta la peluche au museau de Flocon, ce dernier se tourna alors dans tout les sens pour chercher la fille du chef Hakan. Il remonta en selle et lança un regard triste à Toruuk, il s'en voulait d'avoir été aussi bête...*
-"Seigneur Hakan...je suis désolé. J'aurais dû le comprendre plus tôt. S'il vous plais, rentrez au palais. Nous retrouverons vôtre fille. Après tout chacun de nous à prêté serment non?"
*Il eut un petit sourire en coin, puis sans une autre parole le jeune homme se pressa vers le supérieur des gardes qui se tenait au centre de la rue. il prit un peu de temps pour lui expliquer la situation. Après un hochement de tête, il demanda à quelques gardes d'accompagner le jeune Azaruk à la recherche de la fillette disparue. En d'autres mots, son chef lui confiait le commandement de cette mission. Il sentit monter la pression sur ses épaules, mais après une ou deux secondes pour reprendre son calme, il frappa les flancs de Flocon et l'animal fille à travers les rues de la cité. Il se rapprochait du kidnappeur à chaque pas de l'ours.*
