*Kayo trouva rapidement le vieil homme qui lui proposa un peu de temps et quelques biscuits en guise de petit-déjeuner. Si le papy était acariâtre et un poil raciste, il permit au fils de la terre de faire un brin de toilette avant de le laisser partir sans même lui laisser de tache supplémentaire. Lui n'irait pas voir le discours d'ouverture, il était seulement pressé que: "Ces sales phoques retournent chez eux".
La fête de la paix ne mettait pas tout le monde en joie.
Le vieil homme proposa quand même à Kayo de revenir en soirée, il aurait certainement quelques courses à lui faire faire.*
--------------------------------- LAOR
*Une jeune femme salua Atka avec un sourire et ne cacha pas sa perplexité quand elle sut que la fille de la terre n'était pas au point sur le programme.*
-Ne savez-vous pas ? Les discours d'inauguration vont avoir lieu à l'esplanade. C'est ça qui va lancer les festivités pour de bon. Le Seigneur du Feu, les Chefs des Tribus de l'eau et l'avatar sont attendues vous savez ?
*Elle en tout cas semblait toute excitée à l'idée de voir tous ces grands de ce monde.*
Ce réveillant à l'aube bien avant le Patriarche, il pus observait de loin la place ou ce préparer le discourt du Seigneur du feu. Une personne assurément importante, le Patriarche lui avait expliqué que c'était l'équivalent du chef de pôle sud. Tendit que dans l'horizon le soleil flamboyant ce dessiner au loin au dessus de bâtiment. Agresser pars la lumière il plissa son unique yeux pour apaiser l’éclaircie dû à la lumière, Sa nuit malgré l'alcool fut mouvementé comme toute celle depuis plusieurs semaine, cet vision qu'il ne comprenait pas le tourmenter et cela ce refléter en son regard.
" Sura..sura d'où viens ce nom et qui est cet personne, qui es-ce ? Pour quoi elle à remplacer les cries et pleur que j'entendais, ce visage qui me caché le soleil et dont je ne voyais qu'un sourire celui d'une femme...ma mère. Pour quoi maintenant, et que veux au final ce Patriarche. Il ne m'estime en aucun cas, je l'amuse il me dit ... mmh je devrais lui demandé de tenir parole sur ce qu'il a avançait. "
Tournant le regard vers les grognements qui provenait du lit, Yahto ce réveiller et il semblait aussi frais que Aren l'était lors de sa première ingestion en trop grande quantité de ce liquide du feu. Il s'approcha du Patriarche qui le clamer pour de l'aide, après qu'il est entendu les directives il s'inclina et ce releva de sa position de zazen. Il réajusta ses habilles et remis en place sa dague à sa ceinture, étant mise dans son dos elle resté discrète et rapidement accessible.
Les employer détaller tel des souris devant un chat, son regard restais ferme et son allure assuré. Observant attentivement tous mouvements, sa respiration était calme et reposer tendit que son esprit restait en alerte. Son regard ce posa sur une fille de la tribu de l'eau, cet personne au allure de guérisseur pour sur .
- Êtes vous une guérisseuse, Le Patriarche aurais besoin de vos services si c'est le cas. .
Dernière édition par Yukiko le Jeu 24 Juil 2014 20:05, édité 2 fois.
Daisuke a écrit:[HRP : Je pars du principe que Lyanna a rejoint le groupe pendant la discussion si tu es contre Cheffe, dis-le et je changerai]
-H23-
Les têtes connues ne tardent pas apparaitre avec d'abord Azaruk, à qui Amarok fait un signe pour l'inviter à le rejoindre. Lyanna fait aussi son entrée et il ne peut s'empêcher de remarquer que ses deux amis ont l'air de s'être mis sur leur 31 pour cette journée. Azaruk arbore une armure rutillante bordée de fourure et Lyanna semble presque irréelle dans sa tenue tellement peu coutumière de celles que le pêcheur a l'habitude de lui voir porter. A nouveau, il semble être le cheveu dans la soupe, étant pratiquemment le seul dans la salle à s'être vêtu normalement. Pas que ça le dérange vraiment...après tout, toutes ces histoires d'étiquettes et de froufrous lui passent largement au-dessus de la tête. Mais ça fait quand même quelque chose d'étrange d'être entouré d'autant de gens si luxueusement habillés. Il termine son petit déjeuner et manque de s'étrangler à la remarque du garde.
Kreu quoi ? Gravir des échelons ?
Il regarde Azaruk avec un l'air moitié franchement étonné et moitié en train se demander si cette remarque est une blague ou non. Dur de savoir, avec l'étrange sens de l'humour du garde.
Pourquoi tu dis ça ? C'est pas comme si j'avais un rôle à jouer dans tout ce bazar.
Il englobe la pièce remplie de dignitaires d'un geste du bras.
Moi, tant que je peux visiter et découvrir de nouvelles choses, je ne demande pas plus. Pourquoi je me compliquerais la vie avec tout ça ? Je ne suis ni un militaire ni un noble et heureusement !
Il sourit lance un regard espiègle à Azaruk, sachant combien celui-ci a souvent la vie dure avec toutes ces histoires de "codes".
A vrai dire, j'ai bien l'intention de voyager...peut-être même assez rapidement.
C'est la première fois qu'il pense à ce qu'il va faire une fois la fête achevée, maintenant qu'il y a moins d'obstacles que jamais entre lui et son départ vers l'inconnu.
La Nation du Feu est toute proche, je n'y ai jamais mis les pieds. Et puis, il y a aussi Republic City ! Qui ne rêverait pas d'aller voir cette ville où tout à l'air possible ? Et j'ai promis de me rendre au désert de Si-Wong aussi.
On l'aura compris, il veut aller partout. Pas dit que le garde si fidèle au poste soit très emballé par toutes ces histoires de voyage autour du monde cela dit. Il poursuit en s'adressant à ses deux compères :
D'ailleurs...on ne devrait pas rester plantés à l'hôtel toute la journée ! Il doit y avoir plein de trucs à faire et à voir en ville. Est-ce que vous avez le droit de...vous balader ?
Il n'a pas oublié que tous les deux ont des obligations, autres que celle de disparaitre de la vue de Kharstak même si Lyanna ne demanderait sans doute pas mieux.
Lyanna, en entrant dans la grande salle tenant lieu de réfectoire, n'avait pas remarqué au départ la présence d'Amarok. Ce ne fut que lorsqu'elle vit Azaruk y entrer à son tour, et se diriger vers lui, qu'elle le remarqua enfin. Oui, elle s'était un peu perdue dans ses pensées dirons nous.
Mais, alors qu'elle regardait les deux jeunes hommes discuter, elle se mit à sourire, la hache de guerre avait été enterré apparement. Elle embarqua sa tasse de thé, et vint alors les rejoindre, alors qu'Amarok parlait de ses projets pour la suite. Elle avait reprit un air neutre, comme si, elle leur en voulait encore pour ce qu'il s'était passé la veille. C'était encore un peu le cas à vrai dire, mais beaucoup moins.
-Vous avez fait la paix tous les deux ? Si jamais vous recommencez...je vous botterai les fesses !, fit-elle, sans autre forme de préambule.
Son ton avait été dur, mais ses yeux riaient.
-Il s'est passé quoi finalement avec Kharstak et le chef de la garde royale de la Nation du Feu ? Ils n'ont pas été trop durs ? Je serai bien restée vous attendre hier, mais Kharstak n'était pas du même avis...
Elle soupira, avant de que son regard ne se pose sur Azaruk :
-Et ta blessure ? Ça va mieux ?
Puis, elle se tourna vers Amarok, dont la question avait un peu assombri le regard de la jeune femme. Elle aurait bien aimé pouvoir se balader tranquillement et profiter de l'Ile, mais aujourd'hui allait être une journée chargée, vu les discours des dirigeants et le début officiel de la fête. Et comme elle avait des obligations, difficile pour elle de s'y dérober pour l'instant :
-Peut-être dans l'après-midi, après les discours. Enfin, si Kharstark le permet. Quoique je pourrais embarquer Kenaï. Il n'est pas aussi désagréable à vivre que je ne le pensais.
*Fier comme un paon, un homme bedonnant saute d'un groupe à l'autre, visiblement très satisfait de lui-même. Il faut dire que la nuit s'est très bien passée pour Domros Kahn... Il en retrouverait presque ses trente ans. Cette petite servante y avait apporté une très belle conclusion. Le coup du bain, ça marche toujours. Enfin passons. L'organisation de la journée, elle aussi, est parfaite. Ce dont il avait le plus peur, l'absence impromptue d'un des invités, n'aurait pas lieu. Il n'y a donc plus aucune raison que quelque chose tourne mal.
Le voilà donc qui sème mondanités et autres compliments sur les toilettes de ces dames. Des hommes aussi, même si elles ne sont pas aussi... Personnalisées. Soudain, il la voit. Oh, elle est accompagnée de deux jeunes hommes, mais... un garde et un péquenaud, rien qui ne soit insurmontable. Elle mérite, en tout cas, beaucoup mieux. Lui, par exemple. Il s'approche donc du petit groupe avant de l'aborder.*
Messieurs... Mademoiselle... Je dois bien avouer ne pas avoir pu contempler plus ravissante jeune femme depuis bien des années. Vous n'auriez pas à rougir devant la Princesse elle-même.
*Oh. La Princesse. Était-elle bien rentrée ? Aux dernières nouvelles, elle... Après réflexion, le Seigneur du Feu lui même lui a demandé de ne plus s'en inquiéter. Il n'a donc rien à se reprocher, et peut se concentrer sur ce qu'il a en face de lui.*
Je me présente : Domros Kahn, responsable de l'organisation de ces festivités.
*Cela ne fait jamais de mal de rappeler sa position, n'est-ce pas ? Après une brève inclinaison du buste dirigée vers les deux compagnons de la jeune femme, il s'incline plus profondément devant elle tout en lui tendant subtilement la paume de sa main. Si elle pouvait lui tendre la sienne... Sa peau qui semble si douce, y déposer les lèvres serait assurément un délice... Et espérons-le, le préliminaire à bien d'autre plaisirs.
Pendant ce temps, il semblerait que ça s'agite un peu de l'autre coté de la salle. Mais Domros a d'autres chat à fouetter.
*Effectivement, quelques membres du personnel ont l'air un peu agité, pendant qu'un responsable grogne dans son coin à propos des sauvages qu'on leur impose dans leur établissement. C'est qu'il devient dur de trouver des volontaires pour s'occuper de certaines chambres... Cependant, la véritable source de cette agitation se trouve ailleurs : le Seigneur du Feu arrive.
Étonnamment, il est cette fois seul, le Président du Conseil ne l'accompagnant pas. Pour quelle raison ? Mystère... Même s'il est probable que, ayant chacun leurs quartiers, ils ne se soient tout simplement pas levé à la même heure... Après tout, le Président n'est responsable que de la politique intérieure, la diplomatie extérieure est le lot du Seigneur du Feu.
Ce dernier s'avance donc, répondant poliment à qui l'aborde, et souhaitant lui aussi une bonne journée. Assez rapidement, il stoppe près d'une table proposant quelques amuse-gueules. Il semblerait qu'il soit le premier des haut-dignitaires à être arrivé, ne lui reste donc plus qu'à attendre.*
Kayo trouve rapidement le vieil homme qui lui propose un petit déjeuner certes assez basique mais ça restait un petit déjeuner et rien que ça,c'était déjà bien et ça avait de quoi donner la patate au jeune maître de le Terre.Bon il y avait tout de même un petit bémol dans l'histoire,son hôte n'aimait pas trop les étrangers et ça se voyait alors Kayo essayait de se faire le plus petit possible pour ne pas en prendre plein la gueule.Ça semblait fonctionner puisque Kayo n’eut pas de tâche à effectuer,il sortit donc en promettant au vieil homme de revenir le soir pour l'aider.
Ayant fini de s'habiller, Magena prit avec elle la ravissante petite Yuuna pour descendre prendre un petit-déjeuner consistant. Cependant sur la route on l'interpella. Magena se tourna vers la voix qui se révéla émaner d'un homme borgne à l'allure altière. Il lui demandait si elle était guérisseuse. Elle pensa évidemment à Migina d'entrée de jeu et une ombre passa rapidement sur son visage qui ne lassa place qu'à un sourire gêné.
-Eh bien non je suis désolée. Je maîtrise l'eau en effet, mais je n'ai pas de talent pour la guérison... Mais je peux peut-être vous guider vers quelqu'un qui siéra à vos attentes! Je suis Magena au fait, et vous êtes...?
*Azaruk savait que ce qu'il avait dit à Amarok le ferait réagir. Après tout, le garde avait été rétrogradé mais n'était pas devenu plus idiot pour autant. Il savait que si leur combat n'avait pas été stoppé par cet homme qui aimait l'ordre et le respect de la diplomatie plus que tout, s'était parce qu'il voulait voir quelques choses de ses propres yeux. Le fait qu'il est réprimandé son soldat et uniquement lui, lui indiquait qu'il n'était pas la cible de cette attention. Il ne restait donc plus que le jeune pêcheur. Connaissant l'intérêt de Kharstak pour les affaires militaires nul doute qu'il avait en tête de faire de ce jeune homme une recrue de l'armée. Maintenant la question que le futur chef des Noji se posait s'était si avec l'affaire d'hier soir, il allait lui laisser le choix de répondre "non". Amarok avait du courage mais il n'était en rien un soldat. Gardant ses doutes et ses interrogations pour lui, il sourit, le plus simplement du monde, comme les bourgeois et les nobles savent si bien le faire pour cacher leurs vraies intentions.*
-"Hum...Tu ne marches pas toi...Tu cours. Et puis tu as raisons il vaut mieux me laisser la tâche de gérer les dignitaires, tu serais capable de te faire tuer par maladresse."
*Avec cette petite phrase, il avait mit fin à cette partie de la discussion. Le jeune brun, lui préféra changer de sujet et cela allait très bien à Azaruk, après tout rien ne se passerait avant leur retour d'Hosho. Il parlait de son envie de voyage et de parcourir le monde. Le jeune homme aux cheveux blancs avait souvent rêver accompagné son père dans ses voyages d'affaires dans les différentes partie du monde. Mais sa mort l'avait, pendant longtemps, fait voir les voyages comme une chose maligne. Il s'était plongé dans son travail de militaire, veillant à la sécurité des murs de la cité du Pôle Nord. Cela l'empêchait de penser à ce monde là dehors qui lui avait prit un membre de sa famille. Il se refusa aussi à utiliser l'eau qui était l'instrument de la volonté des esprits qui avaient rappelés son père à eux.
Néanmoins depuis qu'il était devenu un garde royal, il avait accompagné Torruk dans de nombreux autres pays. Il avait mit son devoir avant son aversion pour les voyages. Cela lui permit de reprendre confiance dans les navires et dans le monde extérieur. Aujourd'hui alors que le pêcheur lui annonçait son envie d'aller visiter la Nation du Feu, il était tiraillé entre la tâche qui l'attendrait à la garde à son retour et son envie de partager cet instant avec son ami. Mais même la fête pour les gens de l'île ne serait pas pour lui. Il se voulu rassurant avec Lyanna qui l'avait encore une fois fait comprendre que la paix n'était pas encore acquise avant de répondre aux envies de voyages d'Amarok.*
-"Ne t'en fais pas Lya...J'ai connu pire... "
*Il se rendit alors compte que là il était sur une pente très glissante...*
-"Mais...Ne t'en fais surtout pas j'ai eu les meilleurs soins du Pôle. Pour le chef...Eh bien je suis rétrogradé temporairement. Rien de bien méchant...Amarok tu vas devoir trouver une occupation sans nous je ne pense pas que je pourrais m'éloigner de l'estrade, même si j'avoue que c'est pas l'envie qui m'en manque après la soirée d'hier. Elle était vrai..."
* Il ne pût finir sa phrase car un homme vint faire son numéro de charme à Lyanna. Elle était en effet très jolie dans cette robe, n'importe quel homme en serait troublé. Mais cela ne faisait pas pour autant de la femme aux cheveux de feu, une faible femme. Azaruk aurait bien voulu répondre à ce séducteur du dimanche, mais un incident diplomatique était suffisant et puis il était sur la corde raide depuis hier. Enfin ce n'était pas comme si Lyanna ne pouvait pas l'éconduire gentiment...Soudain il fut prit d'un effroyable doute.*
Plissant du regard tel le faucon qui regarder mieux sa proie, son visage resté de marbre et la mélancolie rester honnie présente en son regard. Sans s'attarder sur la réponse, il désigna le chemin restant muet ne prononçant que les mots utiles .
- Je vous suit ...
Suivra la jeune maitre de l'eau sans dire un mot, et ne prêtant pas attention à l'enfant, un bref regard sur le visage de celle-ci pour êtres projetais dans un passer. Où les cris et le sang couler à flots ce jour-là, sans savoir pour quoi puis passant aux images de ce visage caché derrière la lingue qui l’appeler encore sans savoir qu'elle était le visage de cette dite personne. Marchant d'un pas fluide comme à son habitude, il restera perdu dans ses pensées qui lui resteront intime, car en lui était déchainé un orage. Chaque nuit était ce même schéma qui ne faisait que s'agrémenter d'un lent tourment de cauchemars, avec cette unique lumière de joie qui était sa mère qui l’appeler au loin .
