par Tung » Mar 7 Aoû 2012 22:50
*Le noir cède sa place à la lumière vive du soleil. Émergeant d'un sommeil qui avait paru être une éternité, Tung est ébloui et perd tout sens de l'orientation, il tente de se repérer brièvement avec ses mains, mais il remarque que sa posture est très instable, il perd l'équilibre mais se rattrape in extremis.
Sa vision s’accommode alors à la soudaine lumière, il est sur une sorte de place de village, mais en beaucoup plus grand et en beaucoup plus peuplé, des guerriers lui somment de descendre de son perchoir...
... De son quoi ?
Un bref regard autour de lui, le voilà trônant sur la tête d'un chauve bien étrange aux cotés d'un autre grand personnage. Quelles étaient ces choses ? Des esprits que l'on commémore ? Voilà des rituels bien étrange auquel Tung n'était pas du tout familier. *
Où est passé Crom ? Je dois l'appeler ... Mais je dois descendre avant tout ! Peste, c'est bien ma veine si je dois me fâcher avec les autorités lors de mon arrivée ... Tout s'était pourtant si bien passé à la mine...
*Tung tente de trouver un certain équilibre.*
-Oui, je vais descendre messieurs, excusez-moi...
*Un bref regard sur la ville afin de se repérer et de savoir où aller pour la suite.
Car oui Tung avait quand même un très bon sens de l'orientation. Malheureusement le guerrier glisse et entame une chute bien maladroite, alors qu'il tente de se rattraper, ses bras s’emmêlent dans sa propre cape et le voilà qu'il s'écrase au sol.*
Aïe.
*Il est toujours conscient, mais il est sacrément secoué et un vif mal de tête l'élance. Il se redresse, il sens que son estomac fait des bulles, son coeur bat la chamade et les gardes le regarde d'un air bien étrange. L'étranger sent alors que la situation pourrait dégénérer à tout instant, il est temps de désamorcer la situation.*
-Veuillez m'excuser, je ne sais vraiment pas comment je suis arrivé ici... Je viens des montagnes à l'est du marais et je suis venu ici en paix.
*Les gardes feront-ils du zèle ? Tung espérait que non bien qu'il comprendrait leur réticence à aider un contrevenant.*
-Sachez que je suis navré si j'ai offensé vos esprits.
*Lache-t-il quasi-solennellement.*