Les Marais Brumeux

[Laverdure]

*Je décida de suivre le courant d'eau pour aller vers leur ''source'' d'approvisionnement en eau et la saboter. Pour ainsi faire venir une ou deux personnes et leur tendre une embuscade.

Je suis prête et je regarde à l'horizon personne semble se préoccuper de l'arriver d'eau, ils sont à mon avis trop occupés à rigoler et couper des arbres...*

/Qu'es ce que je vais bien pouvoir faire pour empêcher l'eau de passer.../

*Je regarde plus attentivement le conduit et je voie qu'ils ont collé les morceaux du tuyau pour faire le long conduit que c'était devenu. Je sors ma dague et je commence à travailler tous ça pour pouvoir décoller une partie comme ça l'eau ne pourra plus passer! Une fois fait je me retire un peux plus loin et j'attend qu'un ou plusieurs gardes arrivent pour les chopper, comment ? Ca dépendra de leur nombre. *

[Conteur de la Terre]

Après quelques minutes, l'arroseur crache sa dernière salve puis se met à siffler dans le vide. Très vite, deux forestiers réagissent. L'un d'eux monte sur les tronçons pour constater que ouaip, ça ne fonctionne plus. Il se met alors à beugler à son collègue en contrebas.

- Jamy ! Oh Jamy ! Viens voir ! Ton soi-disant système génial est encore en panne !

- Voyons Fred, c'est impossible. Une fois que c'est lancé le mécanisme s'harmonise avec la pression. S'il y a problème, c'est que ça vient de la source.

- Dites les feignasses, il faut que le bois soit arrosé en permanence alors si vous ne voulez pas le faire vous-même, réparez-moi votre machin !

- Oui Sabine, rien de plus facile. Il suffit de tourner cette vanne et on bascule de canalisation.

Jamy se dirige pépère vers l'objet en question et lui fait faire deux tours avant que l'eau revienne comme avant.

- C'est pas sorcier !

PO PO POOOOOO !

- C'est Marcel qui klaxonne depuis son engin, il doit avoir...

- ... Après avoir reglé votre problème de canalisation !

Celle qui semble être la responsable tourne les talons et s'éloigne.

- T'es con, t'allais dire devant la patronne que Marcel ramène des bières sur le chantier !

- Ouais, désolé. Bon, on s'en calice de la canalisation. J'ai transféré la source vers la réserve souterraine. Quand ils se rendront compte que rien n'a été fait, la relève sera déjà passée. Aller, ne faisons pas attendre Marcel, il va tout boire sinon.

Et ils se cassent.

[Laverdure]

*Celle qui semble être la responsable tourne les talons et s'éloigne.*

/Parfait, même si bientôt ça va changer d'équipe je supposes que j'ai bien le temps de faire quelque chose../

*Alors que les deux hommes partent, je prends mon arc, le bande et me prépare a décocher une flèche sur la "patronne" qui me tourne le dos, une, deux et fiou la flèche part, j'ai visée ça nuque j'espère que ça va toucher. Je reprends une flèche et j'attends de voir la prochaine "cible" potentiel*

/Ne venez pas trop nombreux à la fois.../ *Je sens mon carquois léger je compte mais flèches* /mince il ne m'en reste plus que trois plus celle que je me prépare a bandée... j'ai pas récupérée toutes les flèches sur le chemain! pas grave quatre cibles/ *Le stress ne c'étais pas encore emparée de moi, je n'ai fait que tirer sur une cible rien de plus !*

[Conteur de la Terre]

La chef d'équipe est beaucoup trop loin, en plus d'être en mouvement, pour être touchée, à la nuque qui plus est. Toutefois, la flèche vient finir sa trajectoire dans un rondin et s'y planter dans un bruit étouffé. L'enfant sauvage n'est donc pas encore repérée.

[Laverdure]

/Bon raté.. c'est surement un signe et puis de toute façon j'ai plus assez de flèches… je vais retourner et je reviendrai cette nuit..../

*Je repars sans un bruit vers mon abri, même si au début je ne reconnais pas bien la route je retrouve mes traces et les suis pour enfin arriver dans un endroit des marais plus familier!*

bon ce soir je dois vraiment me préparer et leurs faire payer leurs fautes...

*non loin de mon abri, je cueille des fruits pour manger et après j'irais dormir un peu en attendant que la nuit tombe!*

[Conteur de la Terre]

Le sommeil. Domaine des rêves et cauchemars. Cette nuit encore, les songes de l'enfant sauvage seront perturbés.

L'image d'un enfant dérivant au gré des flots traverse l'esprit de l'archère. Celui-ci est confiné dans un drap, mais ce dernier ne semble pas avoir la soyeuse douceur de la soie. Une texture plutôt désagréable, du plastique peut-être. Aucun cri n'en réchappe, aucune expression ne s'en dégage, le bambin n'a même aucun visage. Une vision terrifiante. Le cours d'eau paisible se transforme soudainement en rapides.

L'enfant suffoque, de même pour la fine brune svelte qui se réveille au petit matin, le souffle coupé et transpirant.

[Laverdure]

*transpirante, l'aire que j'inspirais semblais brulée tous mon intérieure.*

/j'ai rien pu faire hier, ces comme ça que tu me puni… bien !/

*après quelque petite respiration, je me préparais a la "guère", peinture sur le visage, habit, flèche, arc, dague*

FOUuuuu !! Bien !!!

*je m'en vais vers le drame que j'ai vu hier, pour faire se que je t'avais promis… et si personne se mais en travers de mon chemin je compte bien faire un carnage de tous ses homme immonde et sans scrupule qui te détruise..*

[Conteur de la Terre]

Au petit matin, le chantier est encore vide. De quoi se préparer convenablement pour un massacre en règle.

Description ! Non, mieux ! Plan ! A l'arrache.

Et on ne se moque pas !

[Kapzayn]

*Ganshi arrive tant bien que mal dans cette région ou monde moderne et mode de vie proche de la nature cohabitent difficilement. Il se dirige en direction du grand arbre banyan, et s'arrêtera à la 'frontière' de la périphérie du tronc du grand arbre, et attendra. Il sait ce qu'il en coûte d'y poser le pied sans autorisation.*

[Conteur de la Terre]

KAPZAYN

Ganshi ne voit rien de particulier. La forêt est calme.