Le Port

[Le Tribun]

LAMISSEVA

*Le bateau partait ... Très rapidement, une annonce demandait à chacun des passagers de retourner dans leur cabine le temps d'un contrôle de routine... Etrange annonce, mais beaucoup semble se plier au protocole, La jeune demoiselle se souvient qu'elle avait du faire de même pour son précédent Voyage au Pôle Nord.

Ainsi la voilà raccompagnée à sa cabine par un aimable marin, elle s'asseoit à coté du hublot lorsqu'elle voit deux grands navires noirs qui approchent du bateau de transport.

A quoi rimait tout ceci ?

Très rapidement, elle entend des bruits dans le couloir, des gens semblaient s'adresser à chacun des passagers.
Soudain, on frappe à sa porte.*

-Mademoiselle ? Pouvons nous rentrer pour un contrôle s'il vous plait ?

[Lamisseva]

*Maha remercia le marin qui l'avait accompagné à sa cabine et fit le tour du propriétaire.
La cabine était toute petite, il y avait une petite couchette sous le hublot et un lavabo en face.
C'était sommaire mais même ça ne pouvait altérer l'euphorie de la jeune fille.

Elle aperçu deux navires se rapprocher du bateau à travers son hublot. Une légère angoisse commençait à la gagner. Pour la première fois de sa vie elle était seule, personne pour répondre à ses questions ou la rassurer.

Des bruits se firent entendre dans le couloirs, elle se figea et tendit l'oreille pour tenter de savoir ce qu'il se tramait.
Soudain on frappa à la porte, Maha sursauta, son coeur s'emballa.*

-Mademoiselle ? Pouvons nous rentrer pour un contrôle s'il vous plait ?

C'est probablement le contrôle de l'armée dont l'homme m'a parlé avant le départ.

* Elle respira à fond pour faire redescendre sa tension qui était montée en flèche et ouvrit la porte de sa cabine. Des hommes en uniforme se tenaient dans le couloir.
Elle les salua et s'écarta pour les laisser entrer non sans passer un regard rapide dans le couloir pour observer les autres passagers, personne ne semblait paniquer. Elle se rassura un peu.*

[Le Tribun]

*La porte s'ouvre, un marin accompagné de 3 militaires. Le premier militaire s'incline respectueusement.*

-Excusez-nous de vous déranger mademoiselle, je me présente, je suis le Sergent Luo. Nous sommes ici pour vérifier que vous n'emportez pas d'objets illégaux. Vous permettez qu'on procède à la fouille de la cabine et de vos effets ?

*Devant l'accord, un peu forcé de Maha, les deux militaires rentrent dans la pièce et procède à une fouille minutieuse de la pièce. Le Sergent sort des papiers d'un sac en bandouillère qu'il tend à la demoiselle.*

-Ceci est un formulaire qui indique que nous n'avons rien trouvé dans vos bagages et que vous êtes en parfaite légalité.

*Et oui, car certains savoir de la grande cité était jalousement gardé par cette dernière, aussi les ressortissants de Republic City ne pouvait emporter avec eux certains objets usant d'un peu de technologie ... D'un autre coté, cela aurait été parfaitement inutile au Pole Nord n'est ce pas ?

Une fois, la fouille au corps et celle de la pièce terminée, le Sergent s'incline respectueusement.*

-En vous souhaitant un excellent voyage Mademoiselle. Nous espérons vous revoir bientôt dans notre grande cité. Aurevoir.

*La porte se referme laissant seule à nouveau Maha.

La fouille aura duré en tout et pour tout une petit heure.

Le bateau repart.

C'est après un voyage sans encombre qu'elle arrive au Pole Nord.*

[HRP: Tu peux poster au Pole Nord, après un hypothétique message :p]

[Gino]

Précédemment:
NA-> Le temple Occidental

Saiko arrive enfin à RC. C'est une ville qui ne le rassure pas vraiment car elle est loin de la façon de penser nomade. Mais ça ne le dérange pas vraiment tant que ça, il faut juste s'y habituer.
Il se demande alors où il pourrait trouver un endroit pour chercher un homme que l'on ne connait pas. Peut-être la police? Non, vu ce qu'il compte faire, vaut mieux pas mêler la police à cela. Peut-être le journal, c'est souvent les journalistes qui trouvent les méchants, puis la police arrive après...

-Enfin bon, profitons un peu de la ville avant tous ça.

Le jeune moine samouraï attend alors sur les quais regardant les gens passer et flânant un peu pour récupérer après son long voyage.

[Le Tribun]

*Saiko profite bien de son Voyage... La ville apparait au loin. C'était un voyage sans heurt à bord d'un navire commercial, tout ce qu'il y a de plus classique, il observe même quelques bisons volants et d'autres objets volants qu'il reconnait vite comme étant les fameux dirigeables de la grande cité.

Saiko remarque alors deux grands navires étranges qui arrivent de part et d'autre du navire. Un marin arrive vers lui et lui demande de rejoindre sa cabine pour une mesure de routine.

Saiko s'exécute et rentre dans sa cabine. Il voit alors les navires qui interceptent son petit bateau. Il entend des homme investir le pont et les différentes cabines.

On frappe à la porte.*

-Excusez-nous de vous déranger, pouvons-nous entrer ?

[Gino]

Saiko se demande qui peut bien être derrière cette porte. La voix n'a pas l'air très inquiétante mais les apparences ne valent pas grands choses. Les mauvaises rencontres arrivent souvent, surtout dans cette ville. Par réflexe, il pose la main sur son katana, prêt à dégainer. Il se met à côté de la porte, pour éviter une possible attaque surprise, et lance d'un ton tranquille:

-Qui êtes vous s'il vous plaît?

[Le Tribun]

-Armée de Republic City.

*... Ça c'est fait.*

-Pouvons-nous rentrer ?

*Sur le coup le ton monte un poil, et ça sent plus la sommation que la demande amicale.*

[Gino]

-L'armée!? C'est pas possible de pas avoir de bol 0 ce point là. Qu'est-ce qui se passe.

Saiko ne trouva pas très réjouissant que à peine il est arrivé, l'armée est déjà dans ses pattes. C'est rassurant, mais pas très accommodant. Saiko sort alors la main de son katana et leur répond:

-L'armée. Mais bien sûr que vous pouvez entrer. On peut dire que dans tout les cas, vous le ferez car c'est votre boulot. Saiko leur répondit sur le ton de l'humour car ça ne sert à rien d'être inquiet: il n'a commis aucun délit.

Il voit alors entrer des hommes bien armés et très confiants. Mais voiIà, qu'est-ce qu'ils lui veulent?

[Le Tribun]

*La porte s'ouvre, 3 soldats pénètrent dans la chambre, celui du milieu, qui semble être le supérieur des 3 soldats se dirige vers toi pendant que les autres se mettent à fouiller sans le moindre ménagement, la moindre parcelle de la chambre.*

-Rassurez-vous, ce n'est qu'un contrôle de routine, pouvez-vous me donner vos papiers s'il vous plait ?

*La question était... En avait-il ? Les nomades n'étaient pas connus pour leur rigueur administrative, et embarquer sans papier était fréquent chez eux ... *

[HRP: Tu peux détailler en HRP la totalité des possessions de ton personnage s'il te plait, merci.]

[Gino]

[HRP: juste un katana, une cape orange en rapport avec l'appartenance NA, quelques yuans, un peu à manger. Je crois que c'est tout]

Mince, ça c'est la question qui tue. On ne la lui a jamais posé alors il n'a pas pensé qu'à RC il en faut. Il est un peu embété et répond:

-Des papiers je n'en ai pas vraiment. En fait je n'en ai pas du tout. Mais comme vous le voyez sur mes mains, j'ai les flèches des moines de l'air. Je n'ai que cela pour m'identifier et mon nom: Saiko Gian. Je viens du temple de l'air Boréal, ou plus précisément du village de Xinning.

Saiko espère que cela suffira, même s'il en doute. Puis une idée lui vient en tête, la signature sur son katana. Il le prend et montre les mots mis sur la lame.

-Ah si, maintenant que j'y pense, regardez s'il vous plait.

Il y est marqué: "Une lame ne sert pas que à couper, elle sait pardonner. Famille Gian". Puis un faucon y est gravé dessus.

-Comme vous le voyez, ce katana appartient à ma famille. Mon père est mort ici, vous l'avez peut-être connu, Xiocao Gian. Il était venu aider la ville après la guerre d'indépendance.

Le moine espère alors que son père était connu, ou que au moins l'armée le connaisse malgré ces 10 années. Il sera peut-être traité comme le fils d'un homme à qui la ville se sentirai obligé de rendre un petit service, comme des papiers par exemple...